Accès Humanitaire

    Le président américain Donal Trump a autorisé, depuis la soirée de ce mardi 22 décembre, le retour de la République Démocratique du Congo à l’AGOA (African Growth and Opportunity Act).

    Dans un communiqué rendu public ce mercredi 23 décembre, l’ambassade des USA en RDC indique que cette décision d’admissibilité de la RDC aux préférences commerciales offertes par l’AGOA, affirme le progrès réalisés par la RDC pour répondre aux critères rigoureux d’éligibilité pour établis par le congrès des Etats-Unis.  

    « Cette décision affirme les progrès réalisés par la RDC pour répondre aux crières rigoureux établis par le congrès des USA et les efforts du président Tshisekedi visant à reformer et renforcer les institutions démocratique de la RDC, protéger les droits humains, et lutter contre la corruption.  » indique le communiqué.

    Satisfait, l’ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Mike Hammer souligne que cette décision du président Américain est une rélisation qui vient cimenter le partenariat PP4PP entre les Etats-Unis et la RDC.

    « Le retour de la RDC à l’AGOA est une importante réalisation qui constitue une manifestation claire de notre partenariat privilégié pour la paix et la prospérité. C’est la reconnaissance de l’engagement du Président Tshisekedi à amener le changement que le peuple congolais souhaite et mérite.  » a-t-il dit.

    Par ailleurs, Mike Hammer a promis d’aider la RDC à profiter pleinement des bénéfices économiques réalisables en vertu de l’AGOA. 

    Disons que l’African Growth and Opportunity Act AGOA, est une loi fédérale américaine adoptée en mai 2000 par le Congrès des États-Unis et signée par le président Bill Clinton. 

    Le but de cette loi est de soutenir l’économie des pays africains en leur facilitant l’accès au marché américain s’ils suivent les principes de l’économie libérale.

    Cette union représente un intérêt réciproque pour les deux parties, les pays africains ayant ainsi la possibilité de s’affirmer progressivement sur la scène mondiale en entrant dans la mondialisation, et les États-Unis bénéficiant ainsi d’une nouvelle source d’approvisionnement, notamment en pétrole.

    Judith Maroy

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