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    Le député national Amato Bayubasire invite les membres de la plateforme politique (CACH) à être vigilants pour ne pas tomber dans le « piège » tendu par ses adversaires politiques qui, selon lui, militent jour et nuit pour l’échec de la coalition au pouvoir.

    « Nos partenaires, nous poussent, peut-être aux différentes crises pour que le peuple seul fasse le décompte, parce qu’ils savent sur quoi le peuple nous attend »

    Invité ce lundi 13 Juillet 2020 dans l’émission Parole aux Auditeurs de Radio Okapi  , l’élu de Walungu a fait savoir que les adversaires politiques du CACH poussent ce dernier aux différentes crises afin de le distraire à ne pas bien servir le peuple .

    Chose qui, pour lui, les expose à la vindicte populaire car les congolais attendent avec impatience le changement de la part de la coalition CACH.

    «Nos partenaires, nous poussent, peut-être aux différentes crises pour que le peuple seul fasse le décompte, parce qu’ils savent sur quoi le peuple nous attend : c’est maîtriser le taux d’inflation, le taux de dollars, l’insécurité, la gratuité, payer les NU reconstruire les routes, …mais quand le peuple commence à nous faire le comptage de crise, c’est une irresponsabilité et nous devons nous en saisir », conseille Amato Bayubasire au CACH.

    Kamerhe « injustement cloué » à Makala

    Celui-ci renseigne que ces adversaires ont usé de la manigance pour arracher au Président de la République, son principal collaborateur cloué «injustement » à Makala ; faisant allusion à Vital Kamerhe.

    Amato Bayubasire pense par ailleurs qu’ils continuent à occasionner des crises dans le pays afin de les distraire jusqu’en 2023. 

    « Ils risquent de nous distraire maintenant jusqu’en 2023 »

    «Les amis ont fait la manigance avec ce qu’ils ont appelé l’Etat de droit en arrachant au Président de la République son principal collaborateur qu’ils ont cloué injustement à la prison de Makala, et aujourd’hui ils sont sur d’autres fronts. Et ils risquent de nous distraire maintenant jusqu’en 2023» avertit-il. 

    Ce cadre de l’UNC rappelle à ses collègues que c’est le CACH qui sera responsable du bilan en 2023. 

    Ainsi, il les invite à l’introspection afin de définir d’autres mécanismes à prendre pour bien servir le peuple.

    Irenge Bagenda Ibag

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