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    Après une double explosion qui s’est produite dans la ville de Kampala, capitale de l’Ouganda, les enquêtes se poursuivent pour identifier les vrais auteurs de ces atrocités ayant couté la vie à au moins 4 personnes et plusieurs blessés mardi 16 novembre.

    Les services de sécurité Ougandaises annoncent avoir déjà mis la main sur une vingtaine des suspects et qui seront déférés tous devant les instances judicaires envie de trouver la trace de cet attentat.

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    Avant la fin même des enquêtes, les rebelles islamiques revendiquent cette double explosion dans le centre-ville de Kampala pendant que les services de sécurité Ougandais pointent du doigt, les rebelles des Forces Démocratiques Alliés (ADF) À Ntoroko dans l’ouest du pays, près de la frontière congolaise.

    Dans cette région, quatre membres présumés des ADF auraient été tués lors d’une fusillade.

    Un cinquième suspect aurait été abattu en périphérie de Kampala (Ouganda) alors qu’il tentait d’échapper à son arrestation.

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    Selon la police, il s’agirait d’un chef musulman qui aurait joué un rôle dans la catastrophe des ADF dans la capitale.

    Selon RFI, 13 personnes, dont six femmes et des enfants, auraient été interpellés à Ntoroko, dans l’ouest du pays, où sont situées la plupart des cellules des ADF, résidant ce milieu depuis 25 ans de l’autre côté de la frontière, en RDC, et qui se sont ralliées récemment au groupe État islamique.

    Déogratias Murhula, stagiaire Université Officielle de Bukavu

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