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    A l’occasion de la journée internationale de la femme rurale, célébrée le 15 octobre de chaque année, l’organisation « Mwanamke kesho » appelle le monde à briser les barrières structurelles; qui jusque là continuent à freiner l’épanouissement de la femme rurale en particulier et toutes les femmes en général.

    Grâce Maroy, la coordinatrice de cette organisation pense que cette journée est l’occasion de célébrer le rôle décisif joué par les femmes et les filles en matière de sécurité alimentaire et de nutrition.

    Mais aussi de sensibiliser la communauté internationale afin que cette dernière continue à investir dans le rôle de chef de file des femmes et à aider leurs réseaux structurés ou informels à mieux faire leur travail.

    Femmes rurales
    Des femmes « Mwanamke mkesho » en échange à Chiherano sur leurs droits.

    «La Journée internationale des femmes rurales est l’occasion de célébrer le rôle décisif joué par les femmes et les filles en matière de sécurité alimentaire et de nutrition.  Mais aussi de sensibiliser la communauté internationale afin que cette dernière continue à investir dans le rôle de chef de file des femmes et à aider leurs réseaux structurés ou informels à mieux faire leur travail,» indique-t-elle; avant de rappeler que c’est le courage de ces femmes et filles qui contribuent plus à la solidité et pérennité des foyers en milieu rural. 

    «Célébrons le courage de ces femme et ces filles qui jouent un rôle majeur et de plus en plus reconnu dans la pérennité des foyers et des communautés en zone rurale. Elles constituent une large part de la main d’œuvre agricole; formelle et informelle, et effectuent la grande majorité des tâches domestiques et des soins; activités non rémunérées au sein des familles et foyers en zones rurales» a martelé Grâce Maroy, la coordinatrice de « Mwanamke kesho ».

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    Par ailleurs, Grâce Maroy indique qu’aujourd’hui encore, l’accès des femmes et des filles rurales aux moyens de production aux services publics; tels que l’éducation et la santé, aux infrastructures comme l’eau et les services d’assainissement reste inférieur à celui des hommes. D’où un engagement de tous.

    Jean-Luc M.

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