Les moyens plateaux de Lemera et les villages sur les collines de Katogota et Lubarika dans la plaine de la Ruzizi sont devenus la proie des groupes armés locaux et étrangers.
La coalition des combattants Maï-Maï avec les rebelles burundais FNL continue de semer la terreur dans le chef des populations civiles.
Par exemple, dans les villages des collines de Lubarika et Katogota, les habitants signalent le mouvement de la bande armée du sujet rwandais Jean-Pierre Rasta dans cette zone.
Ces derniers ont désormais du mal à se rendre dans les champs pour exercer leurs activités champêtres par peur de subir les violences de ces hommes en armes incontrôlés. Tout ça parce-que les militaires de la FARDC du régiment 3304 déployés dans la zone de Lemera «n’arrivent pas à mettre hors d’état de nuire ces assaillants armés. »
L’Association Contre le Mal et pour l’Encadrement de la Jeunesse (ACMEJ) reconnait tout de même qu’il y a de l’accalmie dans les villages se trouvant sur la Route Nationale numéro 5 c’est-à-dire entre Katogota et Uvira.
Ces villages contrôlés par les nouvelles unités FARDC Commando de la 12ème brigade vivent Selon ACMEJ la situation où la sécurité est en train de s’améliorer.
Selon toujours ACMEJ, les assaillants ont développé des mécanismes de comment contourner l’armée loyaliste en attaquant les paisibles citoyens à des endroits vides ou dans les coins non contrôlés par ces nouvelles unités de la FARDC : soit dans les champs, soit dans les sentiers qui vont dans les pistes frontalières entre le Burundi/CIBITOKE et la RD Congo/Plaine de la Ruzizi.
D’où le besoin de renforcement de l’effectif des militaires. Ces nouvelles unités militaire COMMANDO qu’il faut déployer dans la plaine de la Ruzizi, pour qu’elles arrivent à bien maitriser la situation sécuritaire de ce coin.
Cette organisation de droit de l’homme est revenue sur la dernière semaine du mois d’août et qui a connu d’incidents où les habitants étaient certains élevés et d’autres dépouillés et tabassés.