La gratuité de l’enseignement, au cœur d’un point de presse de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO). un constat positif a été fait, trois mois après la rentrée scolaire.
Parmi les avancées, la CENCO fait état de 71,4 % des enseignants des écoles conventionnés catholiques payés,70,7% de leurs écoles sont mécanisées et budgétisées, la suppression des frais de motivation, l’augmentation des frais de fonctionnement des écoles primaires,
Cependant la CENCO a relevé quelques défis et qui nécessite des réponses idoines de la part des autorités pour consolider les acquis et led efforts déjà fournis
698 soit 9,7%des enseignants ne sont pas payés (NP).
138 soit 18,9% des enseignants sont des nouvelles unités non enregistrés, par conséquent non payés (NU).
898 soit 11,6% des écoles sont mécanisées mais non budgétisées.
317 des écoles soit 8,1% ne sont ni mécanisées ni budgétisées.
330 écoles soit 8,1% sont non agrées mais opérationnelles.
243 écoles soit 1, 5% sont agrées mais non opérationnelles.
La démotivation des enseignants NP et NU ainsi que tous les agents d’appoint en Provinces (directeurs de discipline, surveillants, sentinelles, secrétaires, ouvriers) qui ne sont pas payés.
Manque d’équité dans l’octroi des frais de fonctionnement aux écoles et aux bureaux des gestionnaires.
L’arrêt de tous les projets entrepris au niveau des écoles notamment ceux de construction des nouvelles infrastructures et d’équipement.
Disons que cette position plus conciliante de l’église catholique permetttra aux autorités de bien cerner la suite pour la bonne marche de la gratuité de l’enseignement sans qu’elle ait d’incidence sur la qualité de celui-ci.
Jean-Luc Luc






