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    La conférence nationale épiscopale du Congo (CENCO) s’est aussi exprimée au sujet de la condamnation de l’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, Vital Kamerhe, condamné me samedi 20 juin à 20 ans de prison avec deux de ses co-accusés, le libanais Samih Jammal et le chargé d’import export de la Présidence, Jeanot Muhima.

    Pour la CENCO, c’est encore trop tôt de parler d’une bonne action judiciaire. Il est donc question qu’on observe si la justice n’a pas été utilisée pour régler un problème politique.

    Abbé Nshole, le secrétaire général de la CENCO indique qu’il y a beaucoup d’autres cas qui attendent la justice. Et l’on ne peut espérer à une nouvelle dynamique que si ces cas étaient amenés aussi en justice. C’est le cas notamment de l’affaire des victimes de la répression des années passées.

    C’est encore trop tôt maintenant de dire si c’est du serieux ou pas. Il nous encore oberver pour voir si c’est quelque chose qui a été fait pour régler un problème politique ou si c’est réellement une nouvelle dynamique. Il y a beaucoup d’autres cas qui méritent et qui attendent la justice. C’est entre autres les victimes de la répression qui sont et qui attendent que justice leur soit faite. L

    Le souhait de la CENCO est de voir une justice sérieuse, une justice équitable. Que toutes les enquêtes ouvertes permettent d’arriver aux résultats qui convainquent. et ce n’est pas encore le moment.

    Vital Kamerhe, arrêté depuis le 8 avril de cette année a été condamné à 20 ans de travaux forcés à côté de son co-accusés Jammal Samhi et au paient des dommages intérêts de plus de 100 millions des dollars américains. Vital Kamerhe est aussi privé de son droit de vote pendant 10 ans. L’autre prévenu Muhima a été condamné à 2 ans de travaux forcés.

    Jean-Luc M.

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