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    La société civile sous noyau de Mulambula demande la suspension de leur chef de quartier à la personne de Zihalirwa Lubago Carlos.

    Dans une correspondance adressée au bourgmestre de Bagira, elle dénonce plusieurs abus dont est coupable le chef de quartier. Elle cite la spoliation des chemins secondaire et les constructions anarchiques, l’instauration d’une taxe de 5 dollars pour l’identification des locataires et bien d’autres.

    Pour la société civile, le chef de quartier serait également cité dans l’insécurité qui se vie à Mulambula et Cikonyi. Celui-ci se servirait du nommé Ngongo, officier de la police judiciaire, et qui se ferait passer pour agent de la Monusco, intimiderait et arrêterait illégalement des paisibles citoyens.

    Elle lui rappelle que dans une correspondance datant du  19 août, le ministre provincial de l’intérieur lui avait instruit à prendre des mesures disciplinaire contre Lubago Carlos, mais que depuis lors, rien n’est fait.

    « Monsieur le bourgmestre c’est après plusieurs dénonciations de la grande megestion du quartier Mulambula par monsieur Zihalirwa Lubago Carlos actuel chef du quartier dont nos correspondances arrivées à toutes les instances (…) dont certaines sont restées muettes jusqu’à ce que la population les soupçonne d’être en complicité avec ce dernier, pourtant elle espérait une mesure disciplinaire à tous les cadres de base(…) », peut-on lire sur sa correspondance.

    Ainsi la société civile sous noyau de Mulambula annonce des mesures de grande envergure si le bourgmestre ne répondait pas favorablement à leur demande.

    La rédaction

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