
Après six ans de détention, le professeur Mbonekube Michel et Gustave Bagayamukwe foulent encore leurs pieds sur le sol de leur province natale (la province du Sud-Kivu)
Devant une foule qui est venue les accueillir, les deux compatriotes du Sud-Kivu ont remercié toute la population Sud-Kivucienne pour beaucoup d’efforts qu’elle a fourni jusqu’à leur libération. Les deux personnalités ont aussi loué les démarches du bureau de coordination de la société civile pour que ce processus aboutisse.
Notre source ajoute en appelant la population au respect de l’autorité de l’Etat et laisser la justice faire son travail.
C’est Gustave Bagayamukwe qui prend la parole au bureau de coordination de la société civile du Sud-Kivu.
« je suis émue de joie d’avoir bénéficié de cette loi d’amnistie et je remercie tous ceux qui ont lutté pour que je me retrouve encore au Sud-Kivu aujourd’hui. Je remercie les autorités internationales qui ont également lutté pour que nous bénéficions de cette loi, je serai toujours au service de la population à travers la société civile » dit celui que les intimes appellent Bagus, rappelant qu’il a passé plus de cinq ans sans qu’il ne soit présenté devant les juges.
Pour le professeur Mbonekube, leur libération peut-être considéré comme un miracle. Il promet toute fois de rester au service de la population critiquant au passage le fonctionnement de la justice Congolaise.
Après six ans de détention, le professeur Mbonekube Michel et Gustave Bagayamukwe foulent encore leurs pieds sur le sol de leur province natale (la province du Sud-Kivu)
Devant une foule qui est venue les accueillir, les deux compatriotes du Sud-Kivu ont remercié toute la population Sud-Kivucienne pour beaucoup d’effort qu’elle a fourni jusqu’à leur libération. Les deux personnalités ont aussi loué les démarches du bureau de coordination de la société civile pour que ce processus aboutisse.
Notre source ajoute en appelant la population au respect de l’autorité de l’Etat et laisser la justice faire son travail.
« je suis émue de joie d’avoir bénéficié de cette loi d’amnistie et je remercie tous ceux qui ont lutté pour que je me retrouve encore au Sud-Kivu aujourd’hui. Je remercie les Nations Unies qui ont également lutté pour que nous bénéficions de cette loi, je serai toujours au service de la population à travers la société civile » dit celui que les intimes appellent Bagus, rappelant qu’il a passé plus de cinq ans sans qu’il ne soit présenté devant les juges.
Pour le professeur Mbonekube, leur libération peut-être considéré comme un miracle. Il promet toute fois de rester au service de la population critiquant au passage le fonctionnement de la justice Congolaise.
Pour rappel, le ministre de la Justice Alexis Ntambwe Mwamba a signé vendredi 26 janvier dernier un arrêté qui consacre la libération de dix prisonniers condamnés pour faits insurrectionnels, faits de guerre et infractions politiques.
Parmi ces personnes ayant “signé les actes d’engagement” figuraient en tête de liste Gustave Bagayamukwe, ancien président de l’association pour la défense des intérêts de la ville de Bukavu (ADIB). Accusé des faits insurrectionnels, il avait été arrêté à Uvira (Sud-Kivu) en février 2013 et transféré à Kinshasa. Bagus est bénéficiaire de la loi d’amnistie du 11 février 2014 et devrait déjà recouvrer la liberté depuis des années.
Jonas Kasula Arsène
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