Les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) annoncent pour bientôt; l’ouverture des audiences dans l’affaire assassinat du colonel Vita Kitambala et son compagnon Jean Marie Kakule Liso; tués dans une justice populaire à Lume , dans le secteur Rwenzori en territoire de Beni, au Nord-Kivu.
D’après le porte-parole des opérations Sokola 1; certains suspects déjà aux arrêts seront bientôt mis à la disposition de la justice, afin de répondre de leurs actes.
«Ils ont été tués par un groupe des gens qui a été intoxiqué par des personnes bien identifiées; qui n’arrivent pas à comprendre le bien fonder de notre armée, qui ont un agenda caché; et qui veulent prendre toute la population de Lume en otage. Nous avons déjà récupéré quelques-uns d’entre eux. Les sons qui circulent sur des réseaux sociaux, nous ont aidé à identifié d’autres bourreaux; et d’ici là nous allons mettre la main sur eux et ils vont comparaître devant la justice.» déclare Antony Mwalushay à la presse.
Par ailleurs, le lieutenant Antony Mwalushayi indique que la collaboration entre la population de Lume et son armée est bonne; en dépit des intox qui circulent sur des réseaux sociaux.
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Il précise que la population de Lume dans le secteur de Ruwenzori n’a aucun problème avec les FARDC; mais plutôt quelques personnes qui ne veulent pas le retour de la paix dans la région de Beni.
«Nous avons perdu les hommes sur le champ de bataille; nous avons aussi perdu le Colonel Vita Kitambala à Lume. Bien que les actes ont été posés par un groupe de gens; beaucoup pensaient que le mariage entre les civils et l’armée sera fragile. Maintenant c’est le contraire car des tels actes nous poussent encore à travailler dur; parce-que nous avons été formés pour ça. L’ennemi est loin de nous décourager,» a-t-il fait savoir.
Rappelons que le Colonel Vita Kitambala et son accompagnateur Jean-Marie Liso avaient été tués par des habitants, la soirée de samedi 16 janvier 2021 à Lume, dans le secteur de Ruwenzori, territoire de Beni.
Roger Kambale, à Beni