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    La coordinatrice de l’Organisation « Mwanamke Kesho », Grâce Maroy plaide pour une justice forte; pour pouvoir éliminer si pas réduire sensiblement les violences faites à l’égard de la femme.

    C’est ce qu’on peut lire dans un communiqué publié par cette organisation de défense des droits de la femme, à l’occasion du lancement des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre du système des Nations Unies; qui se dérouleront du 25 novembre au 10 décembre.

    « Si la justice pouvait régner si elle n’était pas de plus forts, si elle pouvait pulvériser tous ceux-là qui violent nos mères; nos petites sœurs,… On aurait moins de guerres » se dit-elle.

    Mwanamke Kesho, par Grâce Maroy, plaide donc pour un soutien moral, psychologique social, et financier aux victimes des viol et violences, ceci, en dénonçant le mal, l’injustice, et les crimes que subissent ces femmes.

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    Par ailleurs, elle appelle les femmes à briser leur silence, à dénoncer chaque fois qu’elles sont victimes d’un tel au tel abus de la part de la société ou des personnes. Selon elle, c’est seulement en remontant la peur et le silence qu’on peut mettre fin à ce calvaire que traverse chaque jour les femmes.

    « Profitons de ces 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre, passons à l’action de sensibilisation et de mobilisation cette année pour exiger justice pour les milliers des filles et des femmes qui subissent les violences dans leurs foyers dans leurs milieux de travail » insiste-t-elle.

    Gracieuse Wany S.

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